Sur le dossier de la réforme des retraites, les « combats » qualifiés de « démocratiques » ne semblent pas tout à fait l’être eu égard aux péripéties rencontrées lors de l’ouverture des discussions en séance plénière à l’Assemblée nationale ou de celle de la
Conférence de financement ! Une fois de plus, la CFR déplore profondément cette situation et estime qu’elle aurait pu être évitée – au moins à un tel degré d’incompréhension – si ses propositions avaient reçu une écoute plus attentive. Pour ce qui la concerne, elle ne cessera d’exiger sa présence au sein de la future gouvernance du nouveau régime et met, pour cela, tout en œuvre pour faire aboutir sa revendication pleinement justifiée.
Le Président, P. Erbs – Le Président d’honneur, F. Bellanger